- impec
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• 1479; lat. ecclés. impeccabilis; rad. peccare → pécher1 ♦ Relig. Incapable de pécher.♢ Littér. Incapable de faillir, de commettre une erreur. ⇒ infaillible, parfait. « Poète impeccable » (Baudelaire).2 ♦ (1856) Sans défaut. ⇒ irréprochable. Tenue impeccable. « un impeccable garde-à-vous » (Carco). — D'une propreté, d'une tenue parfaite. ⇒Fam. nickel. Il est toujours impeccable.3 ♦ (Abstrait) Fam. Parfait. C'était impeccable ton laïus. ⇒ extra, formidable, sensationnel, 2. super. — Abrév. fam. inv. (1950) IMPEC [ ɛ̃pɛk ]. Des trucs impec.♢ Adv. Fam. Ce rendez-vous te convient ? Impeccable.⊗ CONTR. Défectueux, 2. négligé. impec impeccablement [ ɛ̃pekabləmɑ̃ ] adv.• 1769; de impeccable♦ D'une manière impeccable, parfaite. Habillé impeccablement. — Abrév. fam. (1970) IMPEC [ ɛ̃pɛk ].impec [ɛ̃pɛk] adj. invar. et adv.ÉTYM. 1950 (→ cit.); abrév. de impeccable.❖♦ Familier.1 Adj. Impeccable (3.).0 Mon calot était impec, grâce à une nouvelle feuille de carton.R. Nimier, le Hussard bleu, p. 125 (1950).2 Adv. (1970, in D. D. L.). De manière impeccable (3.). ⇒ Impeccable (4.); impeccablement. || « Ça marchait impec ! » (Victoria Thérame, Hosto-blues, p. 38). — (Adv. de phrase). || Tu vas bien ? Impec !
Encyclopédie Universelle. 2012.